Même la Creuse sourit à Didier, mais sous la pluie
Ah ces sprints, il n'y croit toujours pas et se relève. Ainsi, il arrive 2e samedi, de même dimanche sur un circuit avec un long faux-plat, balayé par le vent, la pluie et même à un moment la grêle. Après avoir monté, il fallait bien descendre et même assez vite ; sur cette route mouillée, la vitesse maximale dépassa les 50 km/h. Quant à la tempêrature, il est facile d'imaginer ! Avec un tel tableau, cela donna de nombreux abandons et un peloton explosé.
Quant à Didier, il voit s'approcher à toute allure la montée en 3e catégorie, car rester dans le peloton, quand on peut aller plus vite, ce n'est pas son genre !