André Boulesteix toujours accro aux dénivelés de fou des Félés !

Notre ami André a encore de belle façon réussi son rendez-vous annuel avec la montagne et ses dénivelés de folie.

Si le sport n’est plus autant à l’honneur chez les jeunes, hormis dans le camp des supporters, André, à maintenant 82 ans, maintient une pratique régulière, tant au niveau vélo que côté exercices d’étirement, d’assouplissement et de musculation.     

Le défi des Fêlés                                                                                                      Pour  faire partie de la Confrérie des Fêlés, il « suffit » d’enchaîner dans la même journée 2, 3 ou 4 cols « Hors catégorie » avec la chaîne du Mont Blanc pour toile de fond, le jour de votre choix. Actuellement 1668 personnes sont membres de cette confrérie, dont André bien sûr, depuis 2003 et qui reste le doyen.                                   

La tentative d’André                                                                                                     

Il s’est présenté au départ avec plus de 5000 km au compteur, répartis entre la pratique du home-trainer (1125 km), celle du vélo route (300) et le reste sur son VTT. Il avait équipé son vélo de 3 plateaux 26/38/50 et d’une cassette de 11 vitesses allant du 11 au 34 dents et avait monté des pneus sans chambre. « Je suis parti le 3 juillet à 4h de Artemart sous des grondements de tonnerre, auxquels a succédé la pluie pendant 12 km. Je suis arrivé en haut du Grand Colombier, où la température n’était que de 8° et après avoir gravi 3 km à 16% et 1 km à 22%. » Il a eu froid dans la descente, mais a trouvé à Culloz une température plus acceptable (20°). Il effectue alors sa deuxième ascension, puis descend à Culloz puis Anglefort pour attaquer la troisième. Enfin, il descend à Champagne et remonte au Grand Colombier, où il termine son périple à 19h35.                                                                                  

Bilan : sa « promenade de 138 km » accuse un dénivelé de 4806 m, réalisée en 15h35, mais bien sûr, il s’est arrêté plusieurs fois pour s’alimenter et boire (indispensable). « J’ai plus souffert que l’an dernier du fait du froid et de la pluie. » constate-t-il avant de rajouter « C’est dommage que ce soit si loin de mon domicile ! Sinon, je le ferais deux fois dans l’année ! »

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[TOM]

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